Wednesday 30 April 2008

Aristote et Phyllis.


"Puisque nous parlons des différentes acceptions de l'être, nous devons faire remarquer d'abord que l'être par accident n'est l'objet d'aucune spéculation. La preuve, c'est qu'aucune science, ni pratique, ni poétique, ni théorétique, ne s'en occupe. Le constructeur d'une maison, en effet, ne produit pas les accidents divers dont la construction de la maison est accompagnée, car ils sont en nombre infini. Rien n'empêche que la maison construite ne paraisse, aux uns, agréable, à d'autres, insupportable, à d'autres encore, utile, et qu'elle soit différente, pour le dire en mot, de tous les autres êtres; aucun de ces accidents n'est le produit de l'art de bâtir."


"Que l'architecte produise la santé, c'est aussi un accident, car il n'est pas dans la nature de l'architecte, mais du médecin, de produire la santé, et c'est par accident que l'architecte est médecin."


" On voit qu'il n'y a pas de science de l'accident. Toute science a pour objet, en effet, ce qui est toujours, ou ce qui est le plus souvent. Comment, sans cela, apprendre soi-même ou enseigner autrui?" (1)





Et le bonhomme de se faire botter le cul par sa maîtresse, harnaché comme un cheval.

Et alors, me direz vous?

Alors c'est ici par hasard - d'aucun dirait par accident. C'est en cherchant une image pour accompagner le texte d'Aristote, un poil rébarbatif, que cette gravure m'est apparue (2). L'incroyable, c'est qu'elle explique d'elle même ce qui va suivre.


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(1) Aristote in Métaphysique, tome 1, Livre E, Librairie philosophique J. Vrin, 2000, 309p.
(2) Aristote et Phyllis, Hans Baldung Grien, Gravure sur bois, 1515, 330*236 mm.

lien

www.csse.ca

education pedagogie au quebec

et si on ouvrait d'autres portes aux yeux de nos chers etudiants

un atelier qui s'appellerait tres scientifiquement
"architecture et enthogènes", encore mieux " architecture sous enthogenes"
comme un hommage a notre cher hoffmann


"It is important to consider the degree to which the potential of entheogens
comes not only from their immediate neuropsychological effects, but also
from the social practices — rituals — into which their use has traditionally
been incorporated (Dobkin de Rios, 1996; Smith, 2000). The protective value
that ritual provides for entheogen use is evident from its universal
application in traditional practices (Weil, 1972/1986). Medical evidence
suggests that there are minimal physiological risks associated with
psychedelic drugs (Callaway, et al., 1999; Grinspoon & Bakalar, 1979/1998;
Julien, 1998). Hofmann (1980), the chemist who first accidentally
synthesized and ingested lysergic acid diethylamide (LSD), contends that
the psychological risks associated with psychedelics in modern Western
culture are a function of their recreational use in unsafe circumstances. A
ritual context, however, offers psychospiritual safeguards that make the
potential of entheogenic plant teachers to enhance cognition an intriguing
possibility."

voyage d'études en Amazonie pour faire un rituel de Yagé ou Ayahuasca, c'est la meme plante des dieux..

http://www.csse.ca/CJE/Articles/FullText/CJE27-4/CJE27-4-tupper.pdf

Entheogens and Existential Intelligence: The Use of
Plant Teachers as Cognitive Tools
Kenneth W. Tupper

Interview - Directeur de la fac d'archi de l'université des Andes (Colombie - de et par Joachim)

Quelle est la spécificité de votre école ?


La spécificité de cette école… cette école qui s’est fondé il y a 60 ans en 1948, disons que sa caractéristique originale était tout d’abord faire des essais que les architectes qui sortaient d’ici, installe leurs bureau ou atelier, comme on veuille l’appeler

On voulait former l’architecte sous des paramètres très orthodoxes, disons de la société de bogotá. L’architecte avec succès qui crée son agence d’architecture a peine sorti, directement dans un cercle, je ne dirais pas élitiste mais très circonscrit dans quelque chose de très spécifique.

C’est une chose qui a changé radicalement, aujourd’hui ce qu’on prétend c’est que l’étudiant ait une formation structurée de telle manière qu’il puisse affronter une multitude de situations, et je crois que c’est un bon pas, parce qu’on a pas que des architectes qui sortent directement créer leur agence mais qu’ils peuvent affronter de multiples situations


Par exemple de collaborer avec des entités gouvernementales et municipales,

Même, et on le dit sans pudeur, affronter des situations qui n’ont rien à voir avec l’architecture.

On ne leur enseigne pas tant les savoir faire du travail, mais plutôt à penser, structurer une pensée critique, qu’il y ait une intelligence organisée qui lui permette de résoudre des problèmes de manière logique.

Nous on insiste beaucoup, la mission des Andes dit que ce qu’on enseigne ici, dans toute les disciplines, c’est qu’on enseigne à voir toute les disciplines d’une façon non proffesionalisante, la fac est très insistante sur ça. Ca ne veut pas dire qu’on empêche les étudiants a être professionnels, mais plutôt a privilégier un enseignement critique ; penser de manière organisée logique, abondante, comment dirais je, ce mot qui est a la mode maintenant proactive, c'est-à-dire savoir affronter des problèmes plus que de connaître les savoir faire de la profession, ça s’apprend dehors, les savoir faire.

Quelque chose que dit la fac des Andes, c’est qu’elle enseigne depuis le point de vue de la discipline non professionalisante, en architecture on a pris ça très au sérieux depuis la réforme culturelle de 97, qu’on a mis en pratique en 2001 on a pu appliquer l’accréditation du programme, l’accréditation est une sorte d’examen de haute qualité pour pouvoir déterminer si le programme est bien structuré.

A cette occasion ça nous a permis de créditer pendant 5 ans.

On venait d’un programme qui était très bon, dans les andes et en architecture, il a été d’ailleurs considéré comme la meilleur programme d’architecture entre les facs privées en Colombie, notre majeur concurrent en ce moment est l’université nationale sans aucun doute, mais la fac d’architecture des andes a toujours été la deuxième si non équivalente.

Alors cette réforme d’architecture a beaucoup pris en compte le fait d’être une discipline non professionalisante, et a décidé de faire un enseignement, qui se concentre a enseigner à l'étudiant qui rentre ce qui est essentiel de cette discipline et non pas de la profession . On essaye de séparer ces deux termes, quelque chose qui est évidemment professionnel va dans un autre sens, ici ce qu’on veut c’est le cœur de l’essence de l’architecture, c’est pas facile, on le dit, et on dirait que c’est super facile, on privilégie ceci sur la profession,

on a fait inclus quelque chose don on tous traite de très orthodoxe, très conservateurs, etc., etc.… parce que la reforme qu’on a fait se base… et ça peut surprendre un peu, se base sur ce qu’a dit monsieur Vitruve… un siècle avant JC, c’est un programme qui se base dans quelques aspects, sur toute cette triade vitruvienne, qui est utilitas, firmitas venustas, c'est-à-dire qu’il faut savoir a quoi servent les choses, l’usage des choses, il faut savoir comment se tiennent les choses, et toute la partie technique, pour arriver a venustas, qu’est la beauté, si on fait bien le devoir de faire que les choses fonctionnent, que ça se tiennent, qu’elles aient une relation intime avec un lieu en particulier, du point de vue de la topographie, de la géographie, du climat, etc. etc. eh bien on va arriver a ce qu’est l’idéal de l’architecte, la beauté, la proportions, l’harmonie, l’ordre, toutes ces choses, eh bien nous on s’est basé sur ça et tous les autres se moquent ils disent : non ces mecs il sont en dehors du contexte, parce que vous ne donnez pas d’opportunité a l’imagination a l’originalité a l’innovation, a l’avant-garde et tout ça, bah ouais parce c’est ce qu’on a fait…




Et c’est la suivante question, comment ça marche, comment serait le programme pédagogique, la continuation ?


Oui, toute cette réflexion va nécessairement à une manière parallèle d’enseigner, on a un cycle basique que sont les deux premiers semestres, comme son nom l’indique, il est basique enseigner les choses essentielles de cette discipline a travers une manière de donner les cours que l’on essaye de faire, je ne sais pas si l’on y arrive, mais on y va...

En plus, je te raconte, Joachim, que l’on est aux portes de faire une autre reforme curriculaire, on est en train d’initier la reforme, nous sommes en train de nous regarder une autre fois, pour voir si ce qu’on a fait était bien, s’il faut le changer ou si le résultat est un échec, ce que je ne crois pas, c’est la base a une nouvelle réflexion.



Qui sont les juges ?


Pour l’instant y a pas de juges, c’est nous même qui nous regardons, faisons une rétrospective pour arriver a un diagnostic et voir ce qu’il y a faire.

Mais pour revenir au thème de comment est articulé le programme en fonction de cette philosophie que je vous ait commenté, il y a un cycle basique ou l’on essaye que les matières ne soient pas dissociées, chacune dans leur petit fief, mais on essaye et c’est pour cela que dans ce cycle, les profs sont a temps complet ce qui sont ici, ceux qui sont compromis avec le programme pas les profs des matières (assistants).

Ces personnes dans le cycle basique essayent de travailler à l’unisson, celui qui sait de histoire de techniques de ville de dessin d’expression, de projets. Ce sont les différentes aires.

Ils travaillent en collaboration intime, pour que ce qui se fasse dans le studio traditionnel d’architecture converge là. Que quand on parle d’un immeuble, qu’il puisse se reférer à l’histoire, a la technique, et a l’expression et a la ville, que ça soit plasmé dans le projet ; ça sonne facile, mais c’est pas facile.

La prémisse de ce cycle basique, est le mot voir, et qu'a travers de voir l'architecture, de connaître l’architecture et de devenir culte de l’architecture de comprendre a travers de voir beaucoup d’architecture, on apprend. C'est-à-dire je sais pas si ça va sonner pétulant, ou chiant, mais on ne laisse pas les étudiants projeter pendant le premier cycle, on veut les remplir d’informations, on veut qu’ils voient beaucoup de choses, qu’ils comprennent les immeubles, classique comme modernes a travers ces points de vues que sont la ville la technique l’histoire. Pour qu’ils comprennent comment cet immeuble est comme il est.


Pourquoi le panthéon est circulaire…………

Et essayer de montrer comment fonctionne l’architecture, et après pouvoir appliquer des principes semblables.




Et ça fonctionne en ce moment ?


L’atelier propose des exercices très précis, c’est une manière que nous sommes ;;; c’est pas le projet traditionnel, faites moi une maison par exemple, mais des exercices très cotes très précis, dessinez en fonctions des bases que nous vous avons donne un espace pour exposer des peintures, mais en fonctions de la lumière naturelle…., c’est des choses très simples, mais qui sont plus des exercice que des projets, a travers ces exercices, ils acquièrent des compétences, qui lui permettent de solutionner des problèmes précises.

Après vient le cycle formatif, 3eme 4 et 5 eme semestres, dans lequel on essaye de continuer a former la personne, associe a ça c’est comprendre, en premier voir, après comprendre. ces trois semestres ont des fonctions très précise, dans le troisième sur l’usage on a utilitas , 4 eme la technique ;; 5 eme semestre que je dirige, ou le thème qu'on aborde est la forme.

C’est pas qu’on ait tout ça dissocié, tout est immergé, mais on augmente le volumes au thème de l’usage, de la technologie, technique et tectonique, au thème du lieu et de la forme ;;; pour comprendre que la forme architectonique n’est pas le produit d’une imagination débordante d’une personne dont la génialité tombe du ciel mais que la forme se produit dune série de décisions très claires qui amène a définir une forme architectonique logique

Et l’autre cycle qui s’appelle propositif, l’intérêt et que et le mot le dit que les personnes commencent a proposer, a pouvoir rechercher pour pouvoir proposer, et ça se culmine dans le projet de diplôme aux semestres 9 et 10




Laisse moi te demander comment fonctionne la pluridisciplinarité, dans ce contexte du campus des andes, est ce qu’il y a des ponts créés entre disciplines?


Bien sur il y a des ponts parce que… la fac quand y a quelqu'un qui rentre dans les andes un des messages très clair qui se donne et le fait que l’on privilégie l’interdisciplinarité. Tu peux être en archi et tu peux prendre des cours de n’importe quelle autre discipline dans l’université, l’inscription que tu payes te permet de faire ça.

On propice a faire deux choses, que les personnes cherchent a faire une option, un « minor », c'est-à-dire qu avec une charge de 15 crédits, tout fonctionne a base de crédit, l'archi c 166 crédits ; donc avec 15 crédits en plus dune autre carrière, chaque département crée une option de 15 crédits, tu peux avoir une connaissance basique de cette discipline, celle qui t'intéresse de complémenter ave l’archi.

L'autre choix est définitivement celle de faire un double programme ; l’université des andes a ce système institué, est que quand tu t’inscrit ici, tu peux faire un double programme ça va prendre plus de temps, mais il y a quelques synergies entre plusieurs programmes ou des matières se valident ensemble… de manière que ce n’est pas 5 ans plus 5 ans ou 4 plus 4, mais ça peut s’écourter un peu ;;; avec une certaine raisonnablement ;; on ne peut pas faire deux carrières en 5 ans comme archi et ingénierie;; ça serait suicide et n’aurait pas de sens.

En architecture on essaye, ça marche pas toujours, d’avoir quelques connexions avec autres disciplines ; comme les maths la physique le bio climatique, le dessin industriel, c’est pas facile, mais on essaye, et ça dépend un peu de la réception des autres départements pour que ça se produise ;;;



Les CBUs ?


le cycle basique uniandino c’est une partie de la formation des gens qui rentrent ici, et c’est sous le contrôle de l'université ;; ce sont des matières de toutes les disciplines ;tous les départements ou facultés sont obliges d’offrir des cours cbu, dans notre cas des cours d’archi donné par des profs d’archi mais pour un public qui n’es t pas d’architecture, pour quelqu’un qui fait anthropologie textiles ;//// des cours de divulgation un peu générale de choses spécifiques de l’architecture mais pour un public qui n’est pas nécessairement archi.

L’idée c’est qu'a partir des cbu un étudiant de la fac des andes a part étudier sa discipline ait une vision du monde disons de cette manière, un peu plus universelle ; un peu plus complète, et on choisit dépendamment de ce qui l’interesse ;





J’ai entendu dire que cet apprentissage, était un apprentissage de culture générale plus que d’interdisciplinarité...


peut être que ce soit le point de vue des étudiant, parce que des fois les étudiant ne comprenne que dalle, dans le sens de « a quoi ça sert ?» si un étudiant est conscient de ce qu'il et en train d faire, nous ce qu'on demande c que quand un étudiant choisit un cbu, il le fasse a partir de ses intérêts, qu'est ce qui lui intéresse des autres choses ; c'est pour ça qu’il y a l’obligation de prendre des cours de trois aires, les sciences exactes, ou les sciences, autre les sciences sociales, et les arts et humanités pour qu’il aient tout un panorama, et ensuite il sont obligés de prendre deux cours cbus concentrés dans une de ces aires, pour que ces cours soit comme une micro mini spécialisation, très par au dessus, mais que ce ne soit pas prendre les cours juste comme ça . Avoir un minimum de conscience que c’est un complément de sa carrière.

Mais cela dépend de l’étudiant ; il y autonomie de l’étudiant si il la gâche eh bah « tant pis hein ! »





Parlez moi des nouvelles technologies des réseaux internet...


bon l’internet est quelque chose que tout les étudiants savent utiliser, la fac a un système très sophistique, je ne veux pas être pétulant, tout les profs ont une facette sur le réseau, tout prof doit avoir son cour monte sur ce réseau, il doit mettre tout les info…………………………..

La fac a un ordinateur pour 5 ou ­6 étudiants ce qui est une très bonne moyenne au niveau international. Avec tous les programmes que nous avons choisi pertinents ; campus agreement ;

Autocad sketchup… avec des licences ;;;; 50 étudiants,

Il y a des portables, un service de location un portable pour 2000 pesos l’heure 70 appareils;;; ils sont tous lignes ; wifi ;;; pour les espaces extérieurs principalement ;: dans une paire d’année toute la fac sera branchée sur wifi

Si les étudiants disent qu’il y a une faille dans tout ça c’est par pur désinformation





Comment est la balance entre le dessin classique à la main?


Nous on a fait le pari d’essayer de ne pas perdre le dessin manuel, donc encore une fois ils nous disent mais vous êtes dans les cavernes vous êtes des cavernicoles des troglodytes, on ne dessine plus a la main ;;; etc. mais au moins nous dans ce programme, on a fait le pari que le dessin a la main est très important, que les outils digitaux sont également importants, et ils sont là,

on a un petit projet elemmental ça s’appelle les cahiers bleus, c’est un livre de sketch avec des feuilles blanches que nous donnons tous les semestres aux étudiants de premier semestre, ce n’est pas seulement un cahier de sketch, il y a chaque fois un thème, il y a des feuilles intercalées avec un thème alors une fois on a fait le thème des dessins faits par les architectes reconnus colombiens, on a mis les dessins de Salmona de Martinez de Guillermo Bermudez, et d’autres, des dessins des étudiants de 5eme, après avec des dessins d’archi connus internationaux


Il y a eu le thème de la fenêtre, on a fait un concours sur ce sujet pour les étudiants, photos, dessins ;;; n’importe quel moyen de représentation. Et les meilleurs ont été choisi pour les caler dans le sketch book, avec une petite réflexion de deux ou trois pages au début sur le thème


Dans quel objet ? Pour fomenter que les gens dessinent, l’écran ne présente pas la qualité ni l’âme qua le dessin. Même si est schématique ou elemental ;

Sans laisser de cote les hautes technologies :::





Tu me parlais d’un projet de pédagogie, qu'est qu’il changerait ?


c’est simplement que dans le monde les programmes deviennent de plus en plus courts, l’exemple français, les trois ans plus deux plus trois, nécessairement on doit regarder comment ça fonctionne, ici il y a beaucoup de programmes qui sont sur quatre ans, ingénierie.. Et autres disciplines, nous il faut qu’on voit ce qui est en train de se passer dans le monde ; qu'est qu'on va faire a ce sujet, alors cette reforme qui s’annonce et qu'on commence a peine, et de voir si le programme d’archi en Colombie peut s’écourter dans le temps ;

Et l’idée c’est de l’attacher avec une maîtrise ;.. Et avec un possible doctorat que l'on a pas encore.

Regarder très attentivement ce qu'on a fiat pendant ces dernières 10 années, dans un programme de cinq ans , pour voir quelle est l’essence de ce qu'on veut enseigner , et pour voir quelle est la longueur de temps dans laquelle on peut enseigner cette essence ;

Et la connecter avec une maîtrise, et que dans 5 où six ans on aurait un programme avec maîtrise

L’écourter pour l’allonger, je crois qu'on arrivera à 6 ans

Les ateliers verticaux ont toujours existe dans ce département, depuis que je suis ici, comme étudiant et profs seulement que cette fois ci on les a mis dans le cycle propositif, on a dit, « homb’e » essayons de cherchons une interrelation entre les étudiants de 6 7 et 8 c a dire qu’il y ait une intégration qui les se mélangent , qu’il s'échangent des idées et de s expériences qu’il y ait une électivité sur une série de thèmes, dans ces ateliers pour que l'étudiant puisse s’affilier a thème en particulier ; et ces thèmes, c’est pas qu'on les contrôle pas mais on détermine ce un minimum de ce qu'on veut explorer

Donc y a des ateliers qui sont orientes vers les thèmes urbain, d'autre sur la sustentable, autres sont lies avec le dessin c’est une expérimentation entre archi et design, pour voir si on peut générer des projets communs et voir comment les deux disciplines interactuent entre elles

A la base c’est une fac d’archi et de design, mais des fois on ne se voit on se comprends pas, on ne se parle , cet atelier cherche un point commun entre les deux.

Et l’idée et que dans un certain cadre, parce qu'on ne donne pas la liberté totale aux profs d‘explorer n’importe quelle thème, parce que ça rirait contre cette chose vitruvienne classique, on laisse qu'ils expérimentent, dans certain paramètres, et il y innovation parce que la théorie c que l’innovation ce produit quand on mène la connaissance très ordonne très cartésien très structuré a ses limites extrêmes ; si tu mène tout ton raisonnement très ordonné jusqu'a ses confins les plus lointains c’est a ce moment que se produit l’innovation, et l’expérimentation mais expérimenter pour expérimenter, innover pour innover, et lavant garde pour lavant garde, et le chever pour le chevere, ça ça nous intéresse pas

On veut qu’il y ait une base ;;;

90% des profs titulaires qui sont ne veulent pas innover pour innover.

La mode pour la modes, la cheveridad por la cheveridad, beaucoup de fois les étudiants qui ne comprennent pas disent qu’on est en train de nous couper les ailes, qu’on nous laisse pas expérimenter….mais ce que nous voulons c'est qu'il expérimentent avec responsabilité.

C’est la philosophie de ce cycle propositif, on leur donne cinq champs où ils peuvent choisir, et ils ont l’interaction avec les étudiant de trois niveaux différent, et ça donne une intégration des étudiants dans l'école





Les andes fomente l'interdisciplinarité, mais l'étudiant doit avoir beaucoup de volonté pour que ça fonctionne


Oui l’autonomie ça se base sur l’autonomie des étudiants




C’est possible de mettre un prof de philo?


On a fait l'expérience, ça fonctionne des fois des fois pas,

On a invité des philosophes, Ingénieurs, et pas as seulement dans un cours...





Et enfin en ce qui concerne les échanges internationaux?


L’atelier de cartagene, c’est la facette internationale de ce département, c’est un atelier de 135 étudiants, presque 100 sont de dehors, latino-américains, quelques européens, presque tous espagnols, quelques français des fois quelques gringos; c’est un atelier qui a ce propos, d’avoir le visage international du département darchi, pour des raisons stratégiques, Cartagena est plus facile plus aimable pour les gens qui viennent de dehors ; c’est la plateforme internationale on invite beaucoup de gens…


Friday 18 April 2008

U2.


Et ça cherche, ça recherche, ça invente et ça découvre. Entraîné dans le mouvement quitte à en perdre de vue. Toucher du doigt. L'intuitive allégence au pensées par l'absurde trouve sa place au soleil, théorique. Cuicui encore une fois, et pour fêter ça: architecture de la pensée.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Pensee_laterale




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Wednesday 16 April 2008

antik

Chez les Grecs, l'école est "pratique avant d'être lieu"
Marie Claude Derouet Besson, Les murs de l'école , Métaillé 1998
cité par Maurice Mazalto in Architecture Scolaire et réussite éducative, Ed Fabert 2008 p.21

Monday 14 April 2008

Les sciences de l'éducation au carrefour du XXIe siècle.

http://www.barbier-rd.nom.fr/SEdeRB.html

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http://www.aecse.net/

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http://www.inrp.fr/INRP/publications/revues/revue-francaise-de-pedagogie#numrec

ajout d'un lien

http://www.sciencedu.org/forseaccueil/Site_Forse/index.html

Tuesday 8 April 2008

instruire et s'instruire

« L’instruction est comme la liberté, cela ne se donne pas, cela se prend. »

Jacques Rancière, « Le maître ignorant. Cinq leçons sur l’émancipation intellectuelle », éd. Fayard, 1987.

Tuesday 1 April 2008

Foucault.

C'est mon nouveau pote qui disait: Suveiller et punir. Il parlait de discipline.
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http://rue89.com/2008/03/30/un-lycee-debloque-a-coup-de-gaz-lacrymogenes
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